11,8x9,5 in ~ Pittura, Acrilico
Cette œuvre impressionniste respire la joie et la spontanéité de l'enfance. Au centre de la scène, une fillette s'amuse avec son chien, dont le mouvement expressif anime la composition. Les deux figures semblent inséparables, incarnant un moment de complicité pure et d'insouciance, perdues au milieu des herbes folles et des fleurs sauvages qui dansent sous la brise.
À l'arrière-plan, la mer s'étend paisiblement, apportant à la scène une profondeur et une continuité qui soulignent la vie en perpétuel mouvement. Ses vagues douces et rythmiques paraissent dialoguer avec l'énergie de l'enfant et du chien, renforçant l'idée d'une harmonie entre la nature et les êtres qui l'habitent.
Les rochers, émergeant des flots comme des gardiens du rivage, ajoutent une dimension symbolique à la scène. Solides et immuables, ils contrastent avec la légèreté de l'instant et semblent veiller silencieusement sur le lieu, témoins intemporels de la vie qui s'écoule
Le ciel, parsemé de nuages flottants sur un fond bleu clair, complète le tableau en apportant une douceur lumineuse et une sensation d'ouverture. Les nuages, légers et éphémères, renforcent l'idée d'un fugace instantané
Cette œuvre célèbre la liberté de l'enfance, l'amitié sincère entre l'humain et l'animal, et la beauté sauvage de la nature. Elle invite le spectateur à retrouver un regard candide sur le monde, à s'émerveiller des petites choses, et à ressentir la poésie des instants simples .
L’Instant de l’Enfance
Dans l’herbe folle aux mille éclats,
Court une fillette aux rires légers.
Son chien bondit, danse avec elle,
Ombre vive sous le vent doré.
Leur complicité éclaire l’instant,
Sans mots, sans chaînes, libre et mouvant.
Ils jouent, insouciants, ivres de joie,
Dans l’étreinte douce d’un matin de soie.
Au loin, la mer, vaste et sereine,
Chante un refrain aux vagues douces.
Son souffle berce, accompagne la scène,
Comme un écho, un murmure, une source.
Les rochers veillent, gardiens du temps,
Témoins de jeux et d’élans vibrants.
Immobiles, solides, et pourtant,
Complices discrets de cet instant.
Le ciel s’ouvre, vaste horizon,
Nuages flottants, promesses en fusion.
Léger, éphémère, il s’efface,
Comme un rêve au creux de l’espace.
Ainsi la toile suspend la vie,
Là où l’enfance jamais ne fuit.
Un éclat de rire, un bond joyeux,
Un souvenir gravé aux cieux.
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