Audran

L'enfant et le cheval (2025)

9,5x11,8 in ~ Pittura, Acrilico


Contatto

L'Enfant et le Cheval
Dans cette scène

Le paysage qui les entoure amplifie leur complicité : l'eau calme devient le miroir de leur lien, les arbres dressés en toile de fond murmurent au gré de la brise, et la lumière douce du jour caresse la scène, baignant les deux êtres d'une aura.

Le tableau respire la communion avec la nature, où chaque élément semble converger pour raconter l'histoire d'une amitié simple et profonde. Le regard de l'enfant, empli d'émerveillement et de tendresse, rencontre celui du cheval

Le décor, humble et sauvage, invite le spectateur à contempler l'harmonie fragile, mais puissante qui lie l'homme et l'animal, rappelant que parfois, les plus beaux cadrans.
La lumière, filtrant à travers le feuillage, joue avec les reflets sur l'eau. Elle éclaire la silhouette gracile de l'enfant et le pelage humide de l'animal, créant des éclats d'or et d'ombre qui semblent danser au rythme du moment. L'eau, d'une transparence cristalline, se fond dans un camaïeu de verts et de bleus, et chaque ondulation.

Autour d'eux, le paysage semble vivre au même tempo : un oiseau s'élève doucement dans le ciel, des feuillages frissonnent sous le souffle du vent, et la nature tout entière devient le théâtre silencieux de cette scène de pure harmonie. La composition, à la fois simple et profonde, donne l'impression d'une parenthèse hors du temps, où le quotidien s'efface.

Et pourtant, il y a dans l'air une certaine fugacité, une émotion fragile qui rappelle que ces instants sont éphémères, précieux comme le souffle d'un vent léger. L'enfant et le cheval, capturés dans cet échange, incarnent la beauté d'un moment suspendu, un fragment de vie que le spectateur contemple.

L’Enfant et le Cheval

L’eau paisible reflète un lien,
Un doux regard, un souffle ancien.
Là, sous l’ombre d’arbres dressés,
Un instant d’or vient s’enlacer.

L’enfant observe, yeux d’éveil,
Son compagnon au flanc vermeil.
Le cheval, noble et silencieux,
Porte en son être un chant des cieux.

La lumière glisse, touche et danse,
Sur l’eau claire et ses nuances.
Elle peint d’éclats, d’or et d’ombre,
Leurs silhouettes en reflets sombres.

Autour d’eux, la nature frémit,
Un oiseau s’élève, un vent s’enfuit.
Les feuilles murmurent, le temps se tait,
Dans ce théâtre où tout renaît.

Et pourtant, fragile est l’instant,
Éphémère comme le vent.
Un souffle, un frisson, une mémoire,
Un fragment de vie, un pur espoir.

Ainsi demeure en ce tableau,
Un monde intime, simple et beau.
Où l’homme et l’animal, liés sans mots,
Chantent l’harmonie en écho.

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