Audran
返回Exposition Cubiste
Le cubisme, dans mon travail, est un langage de fragmentation et de reconstruction. Chaque fragment est une émotion, un symbole, une mémoire. Je ne peins pas pour casser le réel, mais pour en révéler la multiplicité. Derrière chaque forme déconstruite, il y a une quête : celle de l’humain, de l’essentiel, de la vérité cachée dans la matière. Mes œuvres cubistes sont souvent traversées par des thèmes profonds – la fraternité, l’exode, la mémoire des peuples, le mystère du vivant. Elles naissent1
Le cubisme, dans mon travail, est un langage de fragmentation et de reconstruction. Chaque fragment est une émotion, un symbole, une mémoire. Je ne peins pas pour casser le réel, mais pour en révéler la multiplicité. Derrière chaque forme déconstruite, il y a une quête : celle de l’humain, de l’essentiel, de la vérité cachée dans la matière.
Mes œuvres cubistes sont souvent traversées par des thèmes profonds – la fraternité, l’exode, la mémoire des peuples, le mystère du vivant.
Elles naissent d’un besoin de transmettre, au-delà de la forme, un souffle d’humanité. J’y intègre des jeux de textures, des superpositions de plans, des rythmes internes… comme une partition visuelle.
Fragments d’origine
Je reviens aux lumières où mon cri fut silence,
Sète, berceau d’embruns, de songes et d’azur,
Et sous l’œil éclaté de mes toiles en transe,
Je déchiffre le monde en rythmes mûrs.
La forme se défait pour mieux dire l’essence,
Le cube se fracture, le réel se murmure.
Chaque fragment s’élève, murmure sa présence,
Telle une vérité brisée par l’armure.
Le cœur divisé cherche encore son étoile,
Entre l’ombre et le plein, la matière m’appelle.
Je compose en silence un poème sans voile,
Où l’humain s’entrelace au secret de l’éveil.
Dans chaque plan disjoint palpite une mémoire,
Un peuple, un regard, un souffle que j’exhume.
Ma ville me regarde, elle est mon miroir,
Et je peins pour la rendre à son propre volume.
Ô Sète ! En tes ruelles, mes couleurs ont chanté,
Et c’est toi que j’offre à ceux qui savent lire
Les échos de la vie, dans l’art recomposé
Où chaque œuvre est une pensée à faire luire.
Mes œuvres cubistes sont souvent traversées par des thèmes profonds – la fraternité, l’exode, la mémoire des peuples, le mystère du vivant.
Elles naissent d’un besoin de transmettre, au-delà de la forme, un souffle d’humanité. J’y intègre des jeux de textures, des superpositions de plans, des rythmes internes… comme une partition visuelle.
Fragments d’origine
Je reviens aux lumières où mon cri fut silence,
Sète, berceau d’embruns, de songes et d’azur,
Et sous l’œil éclaté de mes toiles en transe,
Je déchiffre le monde en rythmes mûrs.
La forme se défait pour mieux dire l’essence,
Le cube se fracture, le réel se murmure.
Chaque fragment s’élève, murmure sa présence,
Telle une vérité brisée par l’armure.
Le cœur divisé cherche encore son étoile,
Entre l’ombre et le plein, la matière m’appelle.
Je compose en silence un poème sans voile,
Où l’humain s’entrelace au secret de l’éveil.
Dans chaque plan disjoint palpite une mémoire,
Un peuple, un regard, un souffle que j’exhume.
Ma ville me regarde, elle est mon miroir,
Et je peins pour la rendre à son propre volume.
Ô Sète ! En tes ruelles, mes couleurs ont chanté,
Et c’est toi que j’offre à ceux qui savent lire
Les échos de la vie, dans l’art recomposé
Où chaque œuvre est une pensée à faire luire.
