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"Les Portes du Temps" est une œuvre qui transporte le spectateur dans un univers où les frontières entre le réel et l'imaginaire se fondent et se dissolvent. Au centre de la composition, un cheval, galope avec détermination, portant un homme sur son dos, dans une scène qui transcende les lois naturelles. L’instant semble capturé en lévitation, alors que la monture et son cavalier défient la gravité, planant au-dessus d'un paysage éthéré. Ce tableau devient une véritable invitation à l’aventure, où l’on sent le souffle de la liberté et de l'inconnu.
Le spectacle céleste qui se déploie derrière eux est tout aussi captivant. Plusieurs planètes, flottant à l'horizon lointain, émergent comme des témoins silencieux d’un cosmos en constante expansion. La terre sous le cheval semble être en mouvement perpétuel, attirée et transformée par des portes invisibles menant vers d'autres dimensions. Cette dynamique suggère que le cavalier et son fidèle compagnon traversent non seulement l'espace, mais aussi le temps, naviguant entre des réalités alternatives dans un voyage qui semble infini.
Les planètes lointaines ajoutent une dimension cosmique à l'œuvre, renforçant l'idée que ce voyage n’est pas confiné aux lois physiques telles que nous les connaissons. Ce sont des portails invisibles, des portes du temps, qui relient différents mondes, différentes époques. L’ensemble de l'œuvre est baigné dans une énergie cinétique, où chaque élément semble participer à un mouvement continu à travers l’espace et les âges.
"Les Portes du Temps" invite ainsi le spectateur à contempler l’idée des voyages interdimensionnels et à envisager les possibilités infinies offertes par l'univers. Les portes temporelles qui se déploient à l'horizon ouvrent la voie à une réflexion profonde sur la nature de l'existence, sur le passage du temps et sur les mystères du cosmos. C’est une œuvre qui capte l’imagination et invite à une aventure mentale à travers les infinies réalités que nous ne pouvons qu’entrevoir.
Poème :
Les Chemins de l’Infini
Sous les cieux étoilés, le cheval fend les airs,
Son cavalier s’élance vers des mondes lointains,
Ouvrant des portes secrètes, loin des repères,
Où l’espace et le temps n’ont plus de lendemains.
Planètes endormies veillent sur leur passage,
Les réalités glissent sous leurs pieds légers,
Dans ce voyage étrange, sans fin ni ancrage,
Ils traversent l’éther, les rêves partagés.
Chaque porte qui s’ouvre est un saut dans l’ailleurs,
Une quête sans fin vers des univers d’or,
Où passé et futur s’enlacent avec ardeur,
Offrant à leurs âmes un voyage sans bord.
Eklendi