Audran
PowrótSérie Expressionniste en Noir et Blanc
Une quête de l’essentiel, une lumière intérieure Avec cette nouvelle série, j’explore la puissance brute du noir et blanc dans une dynamique expressionniste. Dépouillée de la couleur, chaque œuvre naît dans la tension du contraste, dans la matière même de l’émotion. Je cherche à révéler ce qui palpite au cœur du paysage, non pas sa réalité extérieure, mais ce qu’il murmure à l’âme. Ici, tout devient geste, rythme, respiration. L’eau, les falaises, les ciels vides ou chargés deviennent les mir1
Une quête de l’essentiel, une lumière intérieure
Avec cette nouvelle série, j’explore la puissance brute du noir et blanc dans une dynamique expressionniste.
Dépouillée de la couleur, chaque œuvre naît dans la tension du contraste, dans la matière même de l’émotion. Je cherche à révéler ce qui palpite au cœur du paysage, non pas sa réalité extérieure, mais ce qu’il murmure à l’âme.
Ici, tout devient geste, rythme, respiration. L’eau, les falaises, les ciels vides ou chargés deviennent les miroirs d’un monde intérieur. Le trait parfois vif, parfois retenu, traduit mes élans, mes silences, mes questions. Il ne s’agit pas de représenter, mais de ressentir, transmettre, traduire l’indicible.
Ma démarche s’inscrit dans la filiation des grands expressionnistes — ceux du passé, comme Edvard Munch, Egon Schiele, Käthe Kollwitz, ou Emil Nolde, mais aussi dans l’énergie de certains artistes contemporains qui osent encore faire vibrer l’ombre et la lumière sans fard, avec sincérité. J’admire aussi le regard de certains photographes comme Michael Kenna, qui sculptent l’espace par la lumière et la simplicité, ou Zao Wou-Ki, dans ses encres qui touchent l’invisible.
Ce travail en noir et blanc me recentre. Il me permet de retrouver la ligne essentielle, de me libérer de l’ornement pour m’approcher d’une forme de vérité picturale. Une vérité émotive, vibrante, parfois brute, parfois contemplative.
Chaque tableau devient une respiration de l’âme, un fragment du monde vu à travers le prisme du ressenti.
Avec cette nouvelle série, j’explore la puissance brute du noir et blanc dans une dynamique expressionniste.
Dépouillée de la couleur, chaque œuvre naît dans la tension du contraste, dans la matière même de l’émotion. Je cherche à révéler ce qui palpite au cœur du paysage, non pas sa réalité extérieure, mais ce qu’il murmure à l’âme.
Ici, tout devient geste, rythme, respiration. L’eau, les falaises, les ciels vides ou chargés deviennent les miroirs d’un monde intérieur. Le trait parfois vif, parfois retenu, traduit mes élans, mes silences, mes questions. Il ne s’agit pas de représenter, mais de ressentir, transmettre, traduire l’indicible.
Ma démarche s’inscrit dans la filiation des grands expressionnistes — ceux du passé, comme Edvard Munch, Egon Schiele, Käthe Kollwitz, ou Emil Nolde, mais aussi dans l’énergie de certains artistes contemporains qui osent encore faire vibrer l’ombre et la lumière sans fard, avec sincérité. J’admire aussi le regard de certains photographes comme Michael Kenna, qui sculptent l’espace par la lumière et la simplicité, ou Zao Wou-Ki, dans ses encres qui touchent l’invisible.
Ce travail en noir et blanc me recentre. Il me permet de retrouver la ligne essentielle, de me libérer de l’ornement pour m’approcher d’une forme de vérité picturale. Une vérité émotive, vibrante, parfois brute, parfois contemplative.
Chaque tableau devient une respiration de l’âme, un fragment du monde vu à travers le prisme du ressenti.
