Audran

Un Champ dans la Montagne (2025)

11,8x9,5 in ~ Schilderij, Acryl


Contact

Sous le ciel vaste et lumineux, un champ en pente douce s’étend, baigné par la lumière du jour. L’herbe y pousse librement, offerte au passage du vent et aux sabots d’un bovin paisible, qui, dans la quiétude de l’instant, savoure la générosité de la terre. Son souffle se mêle à la brise, témoin de l’harmonie entre l’animal et le paysage.

Autour de lui, des bruyères et des haies naturelles dessinent la frontière d’un nouveau champ, comme une transition entre l’espace ouvert et la profondeur de la montagne. Elles incarnent la limite entre la nature sauvage et le territoire apprivoisé, un équilibre subtil où l’homme et l’animal trouvent leur place.

Le regard s’élève, découvrant un écrin de montagnes aux courbes douces, habillées de la végétation généreuse des Pyrénées. Des arbres aux troncs noueux s’accrochent aux flancs escarpés, témoins silencieux du passage des saisons. Ici, la nature règne dans toute Sa Majesté, enveloppant le champ dans un berceau protecteur.

L’ensemble de la scène inspire la sérénité et la contemplation. C’est un instant suspendu où le temps semble ralentir, où la montagne veille, où l’animal et la terre partagent un souffle commun. Un tableau vivant de quiétude et d’harmonie, où chaque élément trouve sa place dans le grand cycle de la nature.

Un champ dans la montagne

Sur la pente douce d’un champ doré,
Un bovin pait, calme et léger.
Le vent effleure son dos paisible,
Dans un instant doux et indicible.

Les bruyères tracent un doux chemin,
Frontière discrète aux parfums lointains.
Elles murmurent, frémissent, s’inclinent,
Gardiennes des terres où l’ombre décline.

Autour, les montagnes, géantes endormies,
Bercent la vallée de leur douce harmonie.
Leurs flancs vêtus d’arbres anciens,
Veillent sur le champ, sur le destin.

Les Pyrénées chantent en silence,
Un air de paix, un brin d’enfance.
Ici, le temps n’a plus de poids,
Seule la nature dicte la loi.

Ainsi repose ce coin de terre,
Sous le ciel pur, vaste et clair.
Un souffle, un rêve, une éternité,
Où l’homme s’efface pour contempler.

toegevoegd

Powered by Artmajeur