15,8x15,8 in ~ Peinture, Acrylique, Encre
Le voyage peut pour se présenter se raconter de différentes manières, par des paysages statiques où en mouvements, une matière en corrélation comme l’acrylique qui organise les éléments qui apparaissent libres et distinguer de l’esprit et de sa volonté. Dans cette composition, j’ai estimé une douceur dans ce que convoitais qui s’écoule dans l’œuvre. Le mouvement demeurait primordial, car il représente le temps qui passe plus rapidement pour l’individu dans une action. Mon personnage spontané existe déjà parti dans cette œuvre et s’unifie au volume en organisation dans la substance tout en étant indépendant de celle-ci. L'acrylique orchestré de cette façon crée des mouvements démultipliés qui fusionnent à la terre et à l’eau. Les fils blancs posés ici accentuent la vitesse du temps dans l’abstrait, il paraît envisageable de décrire ce qui existe possible à faire manifester dans une toile. La matière se travaille dans le fluide et peut être dirigée autant dans l’air qu'avec des dispositifs improvisé. C’est très compliqué d’obtenir ce que je convoite, c’est la question d’un instant où je sais que l’organisation de cette toile demeure la bonne et où je ne touche plus l’œuvre. Combien de créations ai-je gâché dans la matière et recommencé. Parfois, j’arrive à révéler dans ma représentation ce que je désire et d’autres fois, c’est au bout de plusieurs esses que je peux m’exprimer dans les tons des teintes sans la parole. À cette époque, j’étais dans la substance et plus tard, je devais découvrir dans les paysages et dans le cubisme, le figuratif, la possibilité de transmettre d’autres méthodes avec les couleurs et leur intensité et variations.
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