Dans "La Promenade", la femme est figée dans un moment de marche gracieuse, avec un seul pied posé sur le chemin, l’autre légèrement soulevé, suggérant le mouvement fluide de sa démarche. Sa silhouette, vue de dos, incarne la sérénité et la simplicité du geste, tandis qu’elle avance avec assurance. Son enfant repose calmement sur son dos, en toute confiance. Dans sa main gauche, le panier d'osier balance légèrement, prêt à accompagner la famille dans ce moment de détente. Le paysage baigné de soleil d'été magnifie l'instant, avec un autre de ses enfants se tenant près du lac, absorbé par la beauté de l’eau scintillante. La lumière douce et dorée, inondant la scène, souligne la tranquillité et la grâce de cet instant suspendu dans le temps.
Sous le ciel bleu, la terre chante,
Le mistral danse dans les champs,
La femme marche, douce et lente,
Un enfant rêve près du vent.

Le lac tranquille fait son éloge,
Les pins murmurent des secrets,
Sous l’été d’or, la vie s’allonge,
La Provence vit en reflets.

Son panier d’osier doucement claque,
Sous ses pas, la poussière monte,
Et l’autre enfant, près de la flaque,
Regarde l’eau qui se raconte.

Ô Provence, douce maîtresse,
Tes chemins sont un doux trésor,
Dans ton air chaud, toute tendresse,
Le temps s'endort, rêve encore.

Προστέθηκε 18 Σεπ 2024