La mer lèche la rive.

Sous un ciel d’or, le silence s’invite,
Là où la mer murmure et le vent s’agite.
Les vagues, en caresses lentes, s’approchent,
Et dans l’ombre des pins, la lumière s’accroche.

Le bleu se mêle au vert dans un chant profond,
Un souffle ancien, un éternel frisson.
La mer lèche la rive avec une tendresse
Que seuls les cœurs en paix vraiment caressent.

Les pins, dressés comme des sages tranquilles,
Bercent l’espace de leur danse fragile.
Leurs cimes effleurent l’azur éclatant,
Messagers muets d’un monde apaisant.

Les montagnes veillent, immobiles géantes,
Telles des gardiennes au front de roche vivante.
Elles offrent au regard leur force éternelle,
Ancrées dans le paysage, puissantes et fidèles.

Et parmi les rochers, la vie persiste,
Petits buissons, éclats verts qui résistent.
Dans chaque souffle, dans chaque reflet,
La nature chante ce qu’elle n’a jamais tué.

"La mer lèche la rive", douce évidence,
Un tableau vivant d’équilibre et d’espérance.
Un hymne discret à la beauté sauvage,
À l’amour du monde, inscrit dans chaque plage.

Hinzugefügt am 17.09.2024